Vertiges

LECTURE – LIRE ET DIRE LE DÉSIR

En juillet 2023, Nicolas Mathieu, prix Goncourt 2018 pour « Leurs enfants après eux », lève le poing face à la censure qui s’abat sur le livre de Manu Causse. Sous son impulsion, une déferlante de récits intimes, accompagnés de « #whenIwas15 », s’abat sur les réseaux sociaux. Soixante-dix de ces récits sont regroupés dans le recueil “Lire et dire le désir”. Ils témoignent de manière évidente que l’adolescence, la littérature et l’érotisme ont justement tout à voir.
La metteuse en scène Alexandra Cismondi accompagnée de 6 élèves du conservatoire TPM d’art dramatique de Toulon, vous propose une plongée littéraire dans l’œuvre de cet auteur majeur, un cri du corps intergénérationnel pour la liberté d’écrire, la liberté de lire, la liberté de dire, le désir.
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En partenariat avec le Conservatoire TPM.

RÉSIDENCE – MAGISTRAL·E·S

Dans MAGISTRAL.E.S. trois femmes interrogent l’humanité de l’accusé, nos « monstres », celleux que nous fabriquons. Trois femmes interrogent le système judiciaire, que dit notre système judiciaire de nous, en tant que société ? Trois femmes interrogent la culpabilité. Trois femmes interrogent la responsabilité, la leur et la nôtre.

SPECTACLE – MÉMOIRES

Performance déambulatoire avec des élèves du conservatoire de Toulon, et autres artistes de la région.
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Dans le cadre de la soirée d’inauguration des 60 ans de la scène nationale Châteauvallon.

RÉSIDENCE – MAGISTRAL·E·S

Dans MAGISTRAL.E.S. trois femmes interrogent l’humanité de l’accusé, nos « monstres », celleux que nous fabriquons. Trois femmes interrogent le système judiciaire, que dit notre système judiciaire de nous, en tant que société ? Trois femmes interrogent la culpabilité. Trois femmes interrogent la responsabilité, la leur et la nôtre.

SCOLAIRE – IL FAUDRA QUE L’ON S’AIME

« Il faudra que l’on s’aime » raconte en deux épisodes la vie de quelques collégiens/lycéens qui s’engagent, cherchent, balbutient, hurlent. Ces jeunes gens (et leurs professeurs baroques, follement investis ou totalement déprimés) trouvent que la langue dit trop ou pas assez, qu’il faut agir, que l’époque dévaste, que personne ne fait rien, que l’amour ne commence pas toujours sur des lèvres et découvrent autour d’un événement, d’une action, d’un cours d’éducation sexuelle la force du groupe. C’est quoi être
ensemble ? Faire expérience ensemble ? Décider de changer les choses et peut-être réparer ensemble ?Comment s’aimer, tous, ni trop, ni trop peu ?

SPECTACLE – IL FAUDRA QUE L’ON S’AIME

« Il faudra que l’on s’aime » raconte en deux épisodes la vie de quelques collégiens/lycéens qui s’engagent, cherchent, balbutient, hurlent. Ces jeunes gens (et leurs professeurs baroques, follement investis ou totalement déprimés) trouvent que la langue dit trop ou pas assez, qu’il faut agir, que l’époque dévaste, que personne ne fait rien, que l’amour ne commence pas toujours sur des lèvres et découvrent autour d’un événement, d’une action, d’un cours d’éducation sexuelle la force du groupe. C’est quoi être
ensemble ? Faire expérience ensemble ? Décider de changer les choses et peut-être réparer ensemble ?Comment s’aimer, tous, ni trop, ni trop peu ?

RÉSIDENCE – MAGISTRAL·E·S

Dans MAGISTRAL.E.S. trois femmes interrogent l’humanité de l’accusé, nos « monstres », celleux que nous fabriquons. Trois femmes interrogent le système judiciaire, que dit notre système judiciaire de nous, en tant que société ? Trois femmes interrogent la culpabilité. Trois femmes interrogent la responsabilité, la leur et la nôtre.

RÉSIDENCE – CE PETIT MONSTRE QUI FREDONNE… (TITRE PROVISOIRE)

Résidence au Théâtre du Rond-Point pour « Ce petit monstre qui fredonne… » (titre provisoire) avec Corine, Elodie Frégé et Guillaume Mika.

SCOLAIRE – IL FAUDRA QUE L’ON S’AIME

« Il faudra que l’on s’aime » raconte en deux épisodes la vie de quelques collégiens/lycéens qui s’engagent, cherchent, balbutient, hurlent. Ces jeunes gens (et leurs professeurs baroques, follement investis ou totalement déprimés) trouvent que la langue dit trop ou pas assez, qu’il faut agir, que l’époque dévaste, que personne ne fait rien, que l’amour ne commence pas toujours sur des lèvres et découvrent autour d’un événement, d’une action, d’un cours d’éducation sexuelle la force du groupe. C’est quoi être ensemble ? Faire expérience ensemble ? Décider de changer les choses et peut-être réparer ensemble ?Comment s’aimer, tous, ni trop, ni trop peu ?

RÉSIDENCE – MAGISTRAL.E.S

Dans MAGISTRAL.E.S. trois femmes interrogent l’humanité de l’accusé, nos « monstres », celleux que nous fabriquons. Trois femmes interrogent le système judiciaire, que dit notre système judiciaire de nous, en tant que société ? Trois femmes interrogent la culpabilité. Trois femmes interrogent la responsabilité, la leur et la nôtre.

ATELIER – ÉCRIRE LE DÉSIR

Le Désir. Le sujet est brûlant et s’abîme souvent les ailes pour exister au-delà de la censure, de la morale ou du bel esprit, des soupirs et des cris d’orfraie. Que deviendrait-il s’il vous glissait sous la plume et dans la gorge ? Si soudain vous étiez l’autrice ou l’auteur de votre propre souvenir érotique littéraire ? Et, soyons plus large, de votre premier émoi face à un objet artistique ?

Le temps d’un après-midi, l’autrice, metteuse en scène et comédienne vous propose d’écrire, de lire, de dire et de tendre vers ce désir dont nous avons tant besoin aujourd’hui, plus encore qu’hier. À partir de l’un de vos souvenirs de lecture ou de l’une de vos rencontres, approchez-le avec tact, soufflez sur ses braises, travaillez-le au corps et hurlez-le à la ville (ou juste à la salle).

ATELIERS / RÉSIDENCE – MAGISTRAL.E.S

Alexandra Cismondi travaillera à l’écriture de sa prochaine création, après « Il faudra que tu m’aimes le jour où j’aimerai pour la première fois sans toi » qui explorait les méandres de l’adolescences et du monde de demain, c’est aux femmes, aux adolescents et la justice de demain qu’elle s’attaque avec « MAGISTRAL.E.S. ». Elle écrira au sein du lieu le matin et y proposera des ateliers l’après-midi. Alexandra cherche la perméabilité entre l’artiste et tous les hôtes de ces murs, jeunes gens, personnel, éducateur.rice.s. Restitution le 16 juillet à 14h30 à Châteauvert.

Avec l’UEAJ et la PJJ. Dans le cadre du dispositif de l’Été Culturel 2024 DRAC PACA.

SPECTACLE – MAGISTRAL.E.S

Restitution publique suite à la résidence de création et aux ateliers menés par Alexandra Cismondi autour de son prochain projet « Magistral.e.s », un récit d’anticipation alliant voix, corps et masques.

Avec l’UEAJ et la PJJ. Dans le cadre du dispositif de l’Été Culturel 2024 DRAC PACA.

SCOLAIRE – IL FAUDRA QUE ÇA CONTINUE

En partenariat avec le Théâtre Paris Villette, et sous leur impulsion, la compagnie a créée des petites formes dérivées du spectacle « Il faudra que tu m’aimes le jour où j’aimerai pour la première fois sans toi », spin off de personnages, scènes coupées, qu’elle joue ce mois-ci de façon indépendante en collège et lycée

SCOLAIRE – IL FAUDRA QUE ÇA CONTINUE

En partenariat avec le Théâtre Paris Villette, et sous leur impulsion, la compagnie a créée des petites formes dérivées du spectacle « Il faudra que tu m’aimes le jour où j’aimerai pour la première fois sans toi », spin off de personnages, scènes coupées, qu’elle joue ce mois-ci de façon indépendante en collège et lycée

SCOLAIRE – IL FAUDRA QUE ÇA CONTINUE

En partenariat avec le Théâtre Paris Villette, et sous leur impulsion, la compagnie a créée des petites formes dérivées du spectacle « Il faudra que tu m’aimes le jour où j’aimerai pour la première fois sans toi », spin off de personnages, scènes coupées, qu’elle joue ce mois-ci de façon indépendante en collège et lycée

ATELIER – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Sur chaque représentation de la création « Il faudra que tu m’aimes le jour où j’aimerai pour la première dois sans toi », une partie des spectateurs est « public complice », l’équipe artistique travaille en amont du spectacle avec un petit groupe de personnes en atelier en partenariat avec des structures éducatives locales.

SPECTACLE – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Comment avoir envie d’entrer dans l’âge adulte quand le monde n’a plus de sens ? Un spectacle plein de rage et d’émois, qui pose la question du vivre ensemble aujourd’hui. L’adolescence, c’est l’âge d’Emma et Lo Tardi Muller, l’âge de danser, l’âge du premier baiser, l’âge de tous les possibles, mais aussi celui de tous les dangers, des ruptures, des incompréhensions. Dans Il faudra que tu m’aimes…, tout commence par l’anniversaire de Lo, et une bougie impossible à souffler. Une scène qui tourne en boucle, point de départ d’une fable construite par flash-backs autour du drame vécu par cette famille. Face à la violence des tueries en milieu scolaire aux Etats-Unis et à un monde difficile à comprendre, l’autrice et metteuse en scène Alexandra Cismondi a eu envie de poser des questions fondamentales comme : comment entrer dans le monde de demain ? Que peut-on construire ensemble ? Qu’est-ce qu’être parent et à quoi rêvent les ados ? Avec un optimisme réaliste, elle vient fouiller le cœur des relations humaines, à la recherche de ce qui nous lie au plus profond : la peur, la mort, mais aussi l’amour, la sororité et la famille.

SPECTACLE – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Comment avoir envie d’entrer dans l’âge adulte quand le monde n’a plus de sens ? Un spectacle plein de rage et d’émois, qui pose la question du vivre ensemble aujourd’hui. L’adolescence, c’est l’âge d’Emma et Lo Tardi Muller, l’âge de danser, l’âge du premier baiser, l’âge de tous les possibles, mais aussi celui de tous les dangers, des ruptures, des incompréhensions. Dans Il faudra que tu m’aimes…, tout commence par l’anniversaire de Lo, et une bougie impossible à souffler. Une scène qui tourne en boucle, point de départ d’une fable construite par flash-backs autour du drame vécu par cette famille. Face à la violence des tueries en milieu scolaire aux Etats-Unis et à un monde difficile à comprendre, l’autrice et metteuse en scène Alexandra Cismondi a eu envie de poser des questions fondamentales comme : comment entrer dans le monde de demain ? Que peut-on construire ensemble ? Qu’est-ce qu’être parent et à quoi rêvent les ados ? Avec un optimisme réaliste, elle vient fouiller le cœur des relations humaines, à la recherche de ce qui nous lie au plus profond : la peur, la mort, mais aussi l’amour, la sororité et la famille.

SPECTACLE – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Comment avoir envie d’entrer dans l’âge adulte quand le monde n’a plus de sens ? Un spectacle plein de rage et d’émois, qui pose la question du vivre ensemble aujourd’hui. L’adolescence, c’est l’âge d’Emma et Lo Tardi Muller, l’âge de danser, l’âge du premier baiser, l’âge de tous les possibles, mais aussi celui de tous les dangers, des ruptures, des incompréhensions. Dans Il faudra que tu m’aimes…, tout commence par l’anniversaire de Lo, et une bougie impossible à souffler. Une scène qui tourne en boucle, point de départ d’une fable construite par flash-backs autour du drame vécu par cette famille. Face à la violence des tueries en milieu scolaire aux Etats-Unis et à un monde difficile à comprendre, l’autrice et metteuse en scène Alexandra Cismondi a eu envie de poser des questions fondamentales comme : comment entrer dans le monde de demain ? Que peut-on construire ensemble ? Qu’est-ce qu’être parent et à quoi rêvent les ados ? Avec un optimisme réaliste, elle vient fouiller le cœur des relations humaines, à la recherche de ce qui nous lie au plus profond : la peur, la mort, mais aussi l’amour, la sororité et la famille.

ATELIER – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Masterclass données aux anciens élèves du JLMB Studio autour du spectacle « Il faudra que tu m’aimes le jour où j’aimerai pour la première fois sans toi » et créations de petites formes que la compagnie va ensuite tourner dès le 26 février dans divers collèges et lycées de Paris et petite couronne.

SPECTACLE – EH BIEN DANSEZ MAINTENANT

C’est l’histoire d’une danseuse qui arrête de danser. Des membres de sa famille sont dans la salle. Or, elle les a interdits de spectacle. Elle panique, appelle, convoque, jusqu’à devenir sa propre mère, enceinte d’elle-même, en 1983, le jour de son mariage à Fréjus. Débute alors 30 ans d’une saga familiale, la sienne, moitié « ritale », moitié française, moitié sud, moitié nord, moitié Toulon, moitié Limoges, moitié riche, moitié pauvre. Dix personnages, qui racontent l’enfance et plus, de cette jeune danseuse, de son corps, pris entre les feux de deux familles que tout oppose. C’est parce qu’elle va relire son histoire en empruntant les corps et les voix de ceux qui l’ont faite qu’elle pourra reprendre le cours de son spectacle et continuer de danser. Reprendre possession de ses membres, jusqu’au bout des doigts. Reprendre possession de l’Histoire. «Eh bien dansez maintenant !» est une autofiction qui questionne le rapport que nous entretenons avec nos mémoires, avec notre héritage. De quoi notre corps hérite-t-il ? Qu’est-ce qui fait qu’on a toujours mal au même endroit, ce point dans le dos, ce poids sur la poitrine, qu’est-ce qui fait qu’on s’affame ou qu’on se goinfre, qu’est-ce qui fait qu’on se bat contre un corps qui, pense-t-on, doit nous obéir ? Comment se défait-on du poids qu’on nous fait porter enfant pour prendre enfin son poids d’adulte ? Antonio Gramsci disait : « Celui qui ne sait pas d’où il vient ne peut savoir où il va. » Et si j’allais voir avant si j’y suis ?

Dans le cadre des itinérances de Châteauvallon.

SCOLAIRE – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

PETITES FORMES

Création avec les élèves des lycées Duruy (Paris 7), Charles de Gaulle (Rosny sous bois), d’Alembert (Paris 19) et des collèges Blanche de Castille (Villemomble), Mozart (Paris 19) de petites formes dérivées du spectacles (scènes coupées, spin off de personnages etc…).

En partenariat avec le Théâtre Paris Villette et les anciens élèves du JLMB STUDIO.

SCOLAIRE – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Comment avoir envie d’entrer dans l’âge adulte quand le monde n’a plus de sens ? Un spectacle plein de rage et d’émois, qui pose la question du vivre ensemble aujourd’hui. L’adolescence, c’est l’âge d’Emma et Lo Tardi Muller, l’âge de danser, l’âge du premier baiser, l’âge de tous les possibles, mais aussi celui de tous les dangers, des ruptures, des incompréhensions. Dans Il faudra que tu m’aimes…, tout commence par l’anniversaire de Lo, et une bougie impossible à souffler. Une scène qui tourne en boucle, point de départ d’une fable construite par flash-backs autour du drame vécu par cette famille. Face à la violence des tueries en milieu scolaire aux Etats-Unis et à un monde difficile à comprendre, l’autrice et metteuse en scène Alexandra Cismondi a eu envie de poser des questions fondamentales comme : comment entrer dans le monde de demain ? Que peut-on construire ensemble ? Qu’est-ce qu’être parent et à quoi rêvent les ados ? Avec un optimisme réaliste, elle vient fouiller le cœur des relations humaines, à la recherche de ce qui nous lie au plus profond : la peur, la mort, mais aussi l’amour, la sororité et la famille.

SPECTACLE – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Comment avoir envie d’entrer dans l’âge adulte quand le monde n’a plus de sens ? Un spectacle plein de rage et d’émois, qui pose la question du vivre ensemble aujourd’hui. L’adolescence, c’est l’âge d’Emma et Lo Tardi Muller, l’âge de danser, l’âge du premier baiser, l’âge de tous les possibles, mais aussi celui de tous les dangers, des ruptures, des incompréhensions. Dans Il faudra que tu m’aimes…, tout commence par l’anniversaire de Lo, et une bougie impossible à souffler. Une scène qui tourne en boucle, point de départ d’une fable construite par flash-backs autour du drame vécu par cette famille. Face à la violence des tueries en milieu scolaire aux Etats-Unis et à un monde difficile à comprendre, l’autrice et metteuse en scène Alexandra Cismondi a eu envie de poser des questions fondamentales comme : comment entrer dans le monde de demain ? Que peut-on construire ensemble ? Qu’est-ce qu’être parent et à quoi rêvent les ados ? Avec un optimisme réaliste, elle vient fouiller le cœur des relations humaines, à la recherche de ce qui nous lie au plus profond : la peur, la mort, mais aussi l’amour, la sororité et la famille.

SCOLAIRE – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Comment avoir envie d’entrer dans l’âge adulte quand le monde n’a plus de sens ? Un spectacle plein de rage et d’émois, qui pose la question du vivre ensemble aujourd’hui. L’adolescence, c’est l’âge d’Emma et Lo Tardi Muller, l’âge de danser, l’âge du premier baiser, l’âge de tous les possibles, mais aussi celui de tous les dangers, des ruptures, des incompréhensions. Dans Il faudra que tu m’aimes…, tout commence par l’anniversaire de Lo, et une bougie impossible à souffler. Une scène qui tourne en boucle, point de départ d’une fable construite par flash-backs autour du drame vécu par cette famille. Face à la violence des tueries en milieu scolaire aux Etats-Unis et à un monde difficile à comprendre, l’autrice et metteuse en scène Alexandra Cismondi a eu envie de poser des questions fondamentales comme : comment entrer dans le monde de demain ? Que peut-on construire ensemble ? Qu’est-ce qu’être parent et à quoi rêvent les ados ? Avec un optimisme réaliste, elle vient fouiller le cœur des relations humaines, à la recherche de ce qui nous lie au plus profond : la peur, la mort, mais aussi l’amour, la sororité et la famille.

SPECTACLE – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Comment avoir envie d’entrer dans l’âge adulte quand le monde n’a plus de sens ? Un spectacle plein de rage et d’émois, qui pose la question du vivre ensemble aujourd’hui. L’adolescence, c’est l’âge d’Emma et Lo Tardi Muller, l’âge de danser, l’âge du premier baiser, l’âge de tous les possibles, mais aussi celui de tous les dangers, des ruptures, des incompréhensions. Dans Il faudra que tu m’aimes…, tout commence par l’anniversaire de Lo, et une bougie impossible à souffler. Une scène qui tourne en boucle, point de départ d’une fable construite par flash-backs autour du drame vécu par cette famille. Face à la violence des tueries en milieu scolaire aux Etats-Unis et à un monde difficile à comprendre, l’autrice et metteuse en scène Alexandra Cismondi a eu envie de poser des questions fondamentales comme : comment entrer dans le monde de demain ? Que peut-on construire ensemble ? Qu’est-ce qu’être parent et à quoi rêvent les ados ? Avec un optimisme réaliste, elle vient fouiller le cœur des relations humaines, à la recherche de ce qui nous lie au plus profond : la peur, la mort, mais aussi l’amour, la sororité et la famille.

PERFORMANCE – LE CORPS DANS LE COUPLE

Il y a les différents états de corps d’un couple, ou le couple en tant que corps… Il y a les mots d’Éliette Abécassis qui nous livre Un couple, cette folle histoire d’amour, qui dure envers et contre tout. Un couple et un tout, traversés et traversant l’entre deux siècles. Il y a le regard de Maïa Mazaurette qui agrandit nos horizons sur le plaisir et le corps, et nous propose une façon de relever la tête d’une vision désenchantée de nos sexualités. Enfin, il y a la voix d’Élodie Frégé, qui fait de son corps une plage où s’effondrent les amants et où s’écroulent les mariages, quand la marée les surprend. Alexandra Cismondi réunit ces trois personnalités que le corps questionne, dans le couple, dans la société, dans la littérature, dans la culotte.

Dans le cadre de la Nuit de la Lecture, en partenariat avec la Librairie Charlemagne et le Centre national du Livre.

PERFORMANCE – HOLD-UP 21 #1 MUJERES ARAÑAS

« Mujeres Arañas » de Nicole Mersey Ortega est la première nouvelle du recueil « Hold-Up 21 ». Nous sommes au XXIe siècle, l’avortement est menacé. Alors il faut répéter : notre corps nous appartient et personne n’a le droit de nous dire comment le remplir, ou le vider, le vêtir ou le dénuder, le chérir ou l’ennuyer, ni quand, ni pourquoi. Notre corps nous appartient et si demain il doit avorter, avant nous lui ferons la fête. Parce que la liberté doit se fêter, au prix qu’elle coûte, il faut la célébrer. Vous êtes donc conviés à une fiesta. Aimons et aimons-nous très fort pour surmonter la naissance d’une liberté de femme ! Une galerie de personnages se partagent la parole de la narratrice dans les couloirs du Grand Hôtel Dauphiné. Les rôles, les discours et les personnages se mélangent pour nous envoûter, parler de façon subliminale et perçante de désir, de chairs, de faim, de peur, de comment faire du trou qu’un avortement peut creuser dans la vie d’une femme, une fête. Bienvenue dans le palais des glaces des corps des femmes d’ici et maintenant ! Nouvelle érotique, déconseillée aux moins de 18 ans. Gratuit sur réservation.

Une programmation de la scène nationale Châteauvallon-Liberté, dans le cadre de la Nuit de la Lecture, en partenariat avec la Librairie Charlemagne et le Centre national du Livre.

ATELIER – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Masterclasse avec les jeunes comédiens issus des promotions passées du JLMB studio à Paris en partenariat avec le théâtre Paris-Villette pour créer des petites formes dérivées du spectacle qui sera joué dans 8 lycées de Paris et petit couronne.

ATELIER – IL FAUDRA QUE TU M’AIMES LE JOUR OÙ J’AIMERAI POUR LA PREMIÈRE FOIS SANS TOI

Masterclasse avec les jeunes comédiens issus des promotions passées du JLMB studio à Paris en partenariat avec le théâtre Paris-Villette pour créer des petites formes dérivées du spectacle qui sera joué dans 8 lycées de Paris et petit couronne.