Compagnie Ayaghma - Association Mozaic
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Compagnie Ayaghma

JANVIER 2025

RÉSIDENCE UN GRAND RÉCIT

 

Une microhistoire des corps perdus. « Individuum est ineffabile : la vérité d’un homme résiste à tout ce que l’on peut dire de lui ». Un grand récit est une utopie, une utopie dans laquelle nous choisissons de raconter les petites histoires des petites gens. Nous allons fabriquer ensemble des communautés éphémères en redéfinissant notre lecture des grands récits du passé pour proposer une alternative. Une alternative d’un soir, une utopie insolente mais un choix. Un choix un peu naïf et candide. N’est-ce pas cela être transgressif aujourd’hui ? Fabriquer des mondes imaginaires un peu trop utopiques. S’inventer sa propre légende. Parler d’amour tout simplement.

Un grand récit est une étude/un voyage/un récit initiatique. Lors de cette étude, l’exemple peut faire argument et les corps perdus, comme les idées oubliées sont au centre de nos préoccupations. Il s’agit de dépasser les idées… et par le corps, tenter d’incarner des questionnements qu’il faut absolument se réapproprier, nos grands récits et nos petites histoires intimes.

Création 2025 – Durée : 2h avec entracte.

20 - 25 JANVIER

L'AGORA - CITÉ INTERNATIONALE DE LA DANSE, MONTPELLIER

SORTIE DE RÉSIDENCE UN GRAND RÉCIT

 

Une microhistoire des corps perdus. « Individuum est ineffabile : la vérité d’un homme résiste à tout ce que l’on peut dire de lui ». Un grand récit est une utopie, une utopie dans laquelle nous choisissons de raconter les petites histoires des petites gens. Nous allons fabriquer ensemble des communautés éphémères en redéfinissant notre lecture des grands récits du passé pour proposer une alternative. Une alternative d’un soir, une utopie insolente mais un choix. Un choix un peu naïf et candide. N’est-ce pas cela être transgressif aujourd’hui ? Fabriquer des mondes imaginaires un peu trop utopiques. S’inventer sa propre légende. Parler d’amour tout simplement.

Un grand récit est une étude/un voyage/un récit initiatique. Lors de cette étude, l’exemple peut faire argument et les corps perdus, comme les idées oubliées sont au centre de nos préoccupations. Il s’agit de dépasser les idées… et par le corps, tenter d’incarner des questionnements qu’il faut absolument se réapproprier, nos grands récits et nos petites histoires intimes.

23 JANVIER

18H

L'AGORA - CITÉ INTERNATIONALE DE LA DANSE, MONTPELLIER

ÉVÉNEMENTS PASSÉS 2024

DÉCEMBRE 2024

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

7 DÉCEMBRE

20H30

MAISON DU THÉÂTRE ET DE LA DANSE, ÉPINAY-SUR-SEINE

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

10 DÉCEMBRE

20H45

ESPACE CARPEAUX, COURBEVOIE

NOVEMBRE 2024

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

20 NOVEMBRE

20H

THÉÂTRE DE FOS, FOS-SUR-MER

OCTOBRE 2024

©Christian Varlet

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT

ÉPISODES 1, 2 ET 3

 

« Notre dernière nuit », spectacle atypique et polymorphe s’adapte aux lieux qui l’accueillent. Pour cette soirée inédite à L’Usine, comme dans une arène, les danseurs se retrouvent encerclés par les spectateurs réunis pour vivre cette dernière nuit, la dernière nuit du monde. Ultime souvenir, instant ou sensation, quand les mots ne suffisent plus pour se raconter, la danse ravive notre désir d’un monde plus humaniste, au-delà du chaos. Laissez-vous emporter par cette pièce condensant les trois derniers opus de la compagnie Ayaghma : Effondre­ment, Espoir et Voir pour la première fois.

 

Une programmation du Théâtre de l’Olivier.

12 OCTOBRE

20H

L'USINE, ISTRES

©Christian Varlet

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT

ÉPISODE 3 : VOIR POUR LA PREMIÈRE FOIS

 

Nacim Battou nous propose un voyage initiatique sur les bords du Rhône en compagnie de six danseurs virtuoses venants du breakdance, du cirque et de la danse contemporaine. Leurs corps nous disent l’espoir, la lumière et la renaissance, en se fondant dans cette nature belle et sauvage.

 

Une programmation du Citron Jaune et de Scènes & Cinés dans le cadre de « Côté mer, côté fleuve ».

19 OCTOBRE

16H

JARDIN DE LA TOUR, PORT-SAINT-LOUIS-DU-RHÔNE

©Christian Varlet

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT

ÉPISODES 1, 2 ET 3

 

Notre dernière nuit est une création au format original de trois épisodes qui invite une communauté, aussi puissante qu’éphémère, à se retrouver dans trois lieux insolites pour vivre, ensemble, la dernière nuit du monde.

 

Dans le cadre du festival Karavel.

26 OCTOBRE

11H, 16H ET 20H

ESPACE ALBERT CAMUS, BRON

JUILLET 2024

©Michael Khettabi

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Dans cette pièce chorégraphiée par Nacim Battou, six virtuoses, danseurs contemporains, hip-hop et circassiens, mettent en mouvement ce qui semble être notre dernière nuit. Ultime souvenir, instant ou sensation. Au plus près des artistes, laissez-vous emporter dans cette expérience inédite et immersive, véritable éloge de la vie.

1 - 5 JUILLET

CHÂTEAUVALLON, SCÈNE NATIONALE, OLLIOULES

©Michael Khettabi

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Dans cette pièce chorégraphiée par Nacim Battou, six virtuoses, danseurs contemporains, hip-hop et circassiens, mettent en mouvement ce qui semble être notre dernière nuit. Ultime souvenir, instant ou sensation. Au plus près des artistes, laissez-vous emporter dans cette expérience inédite et immersive, véritable éloge de la vie.

 

Dans le cadre du Festival d’été de Châteauvallon.

5 JUILLET

19H30

CHÂTEAUVALLON, SCÈNE NATIONALE, OLLIOULES

©Michael Khettabi

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Dans cette pièce chorégraphiée par Nacim Battou, six virtuoses, danseurs contemporains, hip-hop et circassiens, mettent en mouvement ce qui semble être notre dernière nuit. Ultime souvenir, instant ou sensation. Au plus près des artistes, laissez-vous emporter dans cette expérience inédite et immersive, véritable éloge de la vie.

 

Dans le cadre du Festival d’été de Châteauvallon.

6 JUILLET

19H30

CHÂTEAUVALLON, SCÈNE NATIONALE, OLLIOULES

JUIN 2024

ATELIER WORKSHOP

 

Se structurer passe aussi par le corps ! Découvrez des méthodes de composition et des conseils pour prendre soin de soi et de son corps : Nacim Battou, chorégraphe de la Compagnie Ayaghma animera dans ce cadre un workshop danse avec l’incubateur artistique 9.0 pour des artistes professionnels.

3 JUIN

14H

FABRIQUE DERVALLIÈRES, NANTES

©Michael Khettabi

PERFORMANCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Un récit chorégraphique et poétique d’une prodigieuse énergie créé par le chorégraphe Nacim Battou . Un voyage express et émouvant à partager en 3 épisodes sur la chute, l’espoir, et l’émerveillement !

 

Dans le cadre de Sausset-Vous Festival.

8 JUIN

19H30

MÔLE DU PORT, SAUSSET-LES-PINS

©Michael Khettabi

RENCONTRE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Présentation d’une maquette de Notre dernière nuit.

 

Dans le cadre de  « La Route d’été », rencontre professionnelle pour le spectacle vivant dans l’espace public.

27 JUIN

11H30

ESPACE DES FORGES, ANNECY

AVRIL 2024

©Sandrine Calixte

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

1er - 7 AVRIL

CHAPELLE DE L'OBSERVANCE, DRAGUIGNAN

©Fanny Desbaumes

SCOLAIRE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

5 AVRIL

14H30

FORUM JACQUES PRÉVERT, CARROS

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

5 AVRIL

20H

FORUM JACQUES PRÉVERT, CARROS

©Sandrine Calixte

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT (L’ESPOIR – ÉPISODE 2)

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/ un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

 

Dans le cadre du Festival L’Imprudanse – Théâtres en Dracénie, en partenariat avec ARSUD dans le cadre de « La Tournée Mosaïque ».

6 AVRIL

17H

CHAPELLE DE L'OBSERVANCE, DRAGUIGNAN

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

9 AVRIL

20H30

L'ARCHIPEL, SCÈNE NATIONALE, PERPIGNAN

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

12 AVRIL

20H30

LE CARRÉ, SAINTE-MAXIME

©Sandrine Calixte

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT (VOIR POUR LA PREMIÈRE FOIS – ÉPISODE 3)

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/ un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

 

Dans le cadre du Festival L’Imprudanse – Théâtres en Dracénie, en partenariat avec ARSUD dans le cadre de « La Tournée Mosaïque ».

13 AVRIL

17H

PARC CHABRAN, DRAGUIGNAN

©Fanny Desbaumes

SCOLAIRE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

16 AVRIL

14H30

LE FORUM, FRÉJUS

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

16 AVRIL

20H30

LE FORUM, FRÉJUS

MARS 2024

©Julien Gros

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

4 - 8 MARS

POLE PIK, BRON

©Julien Gros

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

11 - 15 MARS

STUDIO DYPTIK, SAINT-ÉTIENNE

©Julien Gros

SORTIE DE RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

15 MARS

18H30

STUDIO DYPTIK, SAINT-ÉTIENNE

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

16 MARS

20H

THÉÂTRE DE FOS, FOS-SUR-MER

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

19 MARS

20H30

THÉÂTRE D'AURILLAC, AURILLAC

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

21 MARS

20H30

THÉÂTRE DE LA MAISON DU PEUPLE, MILLAU

©Julien Gros

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

 

Dans le cadre du festival l’Imprudanse.

25 - 29 MARS

THÉÂTRES EN DRACÉNIE, DRAGUIGNAN

EXPOSITION EN ATTENDANT L’AURORE

 

En attendant l’aurore est une exposition immersive. Librement inspirée de Notre dernière nuit, cette exposition traverse les 3 épisodes de cette création : L’effondrement, L’espoir et Voir pour la première fois. Construit en 3 temps, le projet invite les publics à vivre un parcours de 20 minutes dans un environnement sonore, vidéo et lumineux tantôt envoutant, vertigineux ou contemplatif.

25 - 13 AVRIL

THÉÂTRES EN DRACÉNIE, DRAGUIGNAN

©Julien Gros

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT (EFFONDREMENT ÉPISODE 1)

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

 

Dans le cadre du festival l’ImpruDanse de Théâtres en Dracénie — En partenariat avec ARSUD / « La Tournée Mosaïque ».

30 MARS

19H

AUDITORIUM PÔLE CHABRAN, DRAGUIGNAN

FÉVRIER 2024

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

1 FÉVRIER

20H

SALLE LÉON CURRAL, CULTUR(R)AL, SALLANCHES

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

3 FÉVRIER

20H

CENTRE CULTUREL DE CHARLIE CHAPLIN, VAULX-EN-VELIN

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

6 FÉVRIER

20H

THÉÂTRE DES COLLINES, ANNECY

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

10 FÉVRIER

20H

CENTRE CULTUREL JULIETTE DROUET, FOUGÈRES AGGLOMÉRATION

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

13 FÉVRIER

20H30

THÉÂTRE L'ECLAT, PONT AUDEMER

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

15 FÉVRIER

20H30

THÉÂTRE DE ST LÔ, SAINT-LÔ

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

18 FÉVRIER

16H30

ARCHIPEL, GRANVILLE

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

20 FÉVRIER

20H30

THÉÂTRE JULIOBONA, LILLEBONNE

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

22 FÉVRIER

20H

DSN DIEPPE SCÈNE NATIONALE, DIEPPE

©Fanny Desbaumes

SCOLAIRE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

22 FÉVRIER

DSN DIEPPE SCÈNE NATIONALE, DIEPPE

JANVIER 2024

©Julien Gros

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

8 - 12 JANVIER

DOMAINE DE L'ÉTANG DES AULNES, SAINT-MARTIN-DE-CRAU

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? Avec DIVIDUS, Nacim Battou signe sa première pièce chorale et fait de la compagnie AYAGHMA, fondée en 2017, un laboratoire où danseuses et danseurs sont des explorateurs de leur propre créativité. DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

20 JANVIER

20H30

ESPACE CULTUREL TREULON, BRUGES

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? Avec DIVIDUS, Nacim Battou signe sa première pièce chorale et fait de la compagnie AYAGHMA, fondée en 2017, un laboratoire où danseuses et danseurs sont des explorateurs de leur propre créativité. DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

23 JANVIER

20H30

RELAIS CULTUREL, HAGUENAU

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? Avec DIVIDUS, Nacim Battou signe sa première pièce chorale et fait de la compagnie AYAGHMA, fondée en 2017, un laboratoire où danseuses et danseurs sont des explorateurs de leur propre créativité. DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

 

Dans le cadre du festival « Hip Hop never stop ».

30 JANVIER

20H

L'HEURE BLEUE, SAINT-MARTIN-D'HÈRES