Ayaghma - Association Mozaic
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Ayaghma

AVRIL 2024

©Sandrine Calixte

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

1er - 7 AVRIL

CHAPELLE DE L'OBSERVANCE, DRAGUIGNAN

©Fanny Desbaumes

SCOLAIRE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

5 AVRIL

14H30

FORUM JACQUES PRÉVERT, CARROS

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

5 AVRIL

20H

FORUM JACQUES PRÉVERT, CARROS

©Sandrine Calixte

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT (L’ESPOIR – ÉPISODE 2)

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/ un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

 

Dans le cadre du Festival L’Imprudanse – Théâtres en Dracénie, en partenariat avec ARSUD dans le cadre de « La Tournée Mosaïque ».

6 AVRIL

17H

CHAPELLE DE L'OBSERVANCE, DRAGUIGNAN

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

9 AVRIL

20H30

L'ARCHIPEL, SCÈNE NATIONALE, PERPIGNAN

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

12 AVRIL

20H30

LE CARRÉ, SAINTE-MAXIME

©Sandrine Calixte

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT (VOIR POUR LA PREMIÈRE FOIS – ÉPISODE 3)

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/ un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

 

Dans le cadre du Festival L’Imprudanse – Théâtres en Dracénie, en partenariat avec ARSUD dans le cadre de « La Tournée Mosaïque ».

13 AVRIL

17H

PARC CHABRAN, DRAGUIGNAN

©Fanny Desbaumes

SCOLAIRE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

16 AVRIL

14H30

LE FORUM, FRÉJUS

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

16 AVRIL

20H30

LE FORUM, FRÉJUS

ÉVÉNEMENTS PASSÉS 2024

MARS 2024

©Julien Gros

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

4 - 8 MARS

POLE PIK, BRON

©Julien Gros

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

11 - 15 MARS

STUDIO DYPTIK, SAINT-ÉTIENNE

©Julien Gros

SORTIE DE RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

15 MARS

18H30

STUDIO DYPTIK, SAINT-ÉTIENNE

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

16 MARS

20H

THÉÂTRE DE FOS, FOS-SUR-MER

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

19 MARS

20H30

THÉÂTRE D'AURILLAC, AURILLAC

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

21 MARS

20H30

THÉÂTRE DE LA MAISON DU PEUPLE, MILLAU

©Julien Gros

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

 

Dans le cadre du festival l’Imprudanse.

25 - 29 MARS

THÉÂTRES EN DRACÉNIE, DRAGUIGNAN

EXPOSITION EN ATTENDANT L’AURORE

 

En attendant l’aurore est une exposition immersive. Librement inspirée de Notre dernière nuit, cette exposition traverse les 3 épisodes de cette création : L’effondrement, L’espoir et Voir pour la première fois. Construit en 3 temps, le projet invite les publics à vivre un parcours de 20 minutes dans un environnement sonore, vidéo et lumineux tantôt envoutant, vertigineux ou contemplatif.

25 - 13 AVRIL

THÉÂTRES EN DRACÉNIE, DRAGUIGNAN

©Julien Gros

SPECTACLE NOTRE DERNIÈRE NUIT (EFFONDREMENT ÉPISODE 1)

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

 

Dans le cadre du festival l’ImpruDanse de Théâtres en Dracénie — En partenariat avec ARSUD / « La Tournée Mosaïque ».

30 MARS

19H

AUDITORIUM PÔLE CHABRAN, DRAGUIGNAN

FÉVRIER 2024

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

1 FÉVRIER

20H

SALLE LÉON CURRAL, CULTUR(R)AL, SALLANCHES

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

3 FÉVRIER

20H

CENTRE CULTUREL DE CHARLIE CHAPLIN, VAULX-EN-VELIN

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

6 FÉVRIER

20H

THÉÂTRE DES COLLINES, ANNECY

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

10 FÉVRIER

20H

CENTRE CULTUREL JULIETTE DROUET, FOUGÈRES AGGLOMÉRATION

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

13 FÉVRIER

20H30

THÉÂTRE L'ECLAT, PONT AUDEMER

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

15 FÉVRIER

20H30

THÉÂTRE DE ST LÔ, SAINT-LÔ

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

18 FÉVRIER

16H30

ARCHIPEL, GRANVILLE

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

20 FÉVRIER

20H30

THÉÂTRE JULIOBONA, LILLEBONNE

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

22 FÉVRIER

20H

DSN DIEPPE SCÈNE NATIONALE, DIEPPE

©Fanny Desbaumes

SCOLAIRE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

22 FÉVRIER

DSN DIEPPE SCÈNE NATIONALE, DIEPPE

JANVIER 2024

©Julien Gros

RÉSIDENCE NOTRE DERNIÈRE NUIT

 

Notre dernière nuit est un voyage initiatique, un voyage entre la folie, la grâce et le désespoir supposé d’un dernier instant de vie. Notre dernière nuit est une création en 3 épisodes qui invite une communauté aussi puissante quʼéphémère à se retrouver, par hasard, dans des lieux insolites pour vivre ensemble la dernière nuit du monde. Ce projet laborantin, est un trait dʼunion entre une compagnie et un théâtre/un lieu dʼaccueil/un lieu refuge. Il permet à notre compagnie de (re)découvrir des territoires et les publics, les habitants… les gens tout simplement.

8 - 12 JANVIER

DOMAINE DE L'ÉTANG DES AULNES, SAINT-MARTIN-DE-CRAU

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? Avec DIVIDUS, Nacim Battou signe sa première pièce chorale et fait de la compagnie AYAGHMA, fondée en 2017, un laboratoire où danseuses et danseurs sont des explorateurs de leur propre créativité. DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

20 JANVIER

20H30

ESPACE CULTUREL TREULON, BRUGES

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? Avec DIVIDUS, Nacim Battou signe sa première pièce chorale et fait de la compagnie AYAGHMA, fondée en 2017, un laboratoire où danseuses et danseurs sont des explorateurs de leur propre créativité. DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

23 JANVIER

20H30

RELAIS CULTUREL, HAGUENAU

©Fanny Desbaumes

SPECTACLE DIVIDUS

 

La question de la trace gestuelle a toujours été au cœur de la création chorégraphique. Certains l’écrivent avec des choréologues, d’autres la filment ou transmettent leur répertoire d’interprètes à interprètes au fil des générations… Mais le vivant du spectacle, sa genèse, le fourmillement d’improvisations, de recherches, de confrontation des corps, des points de vue, le positionnement du metteur en scène… Cette fugacité se révèle indispensable au surgissement de l’art. Comment tout ce qui est fondateur d’un spectacle s’inscrit-il dans l’époque et le temps ? Avec DIVIDUS, Nacim Battou signe sa première pièce chorale et fait de la compagnie AYAGHMA, fondée en 2017, un laboratoire où danseuses et danseurs sont des explorateurs de leur propre créativité. DIVIDUS, dystopie chorégraphique, se déroule dans un futur où le spectacle vivant n’existe plus. DIVIDUS met en scène la rencontre, celle d’artistes d’horizons aussi divers que le cirque, le hip hop, la danse contemporaine… et celle des corps qui, dans une danse extraordinairement puissante, expriment l’urgence et le besoin imminent de reconnexion au vivant. Un pamphlet sensoriel sur la nécessité de la culture, de la présence ; une ode à la pulsion de vie !

 

Dans le cadre du festival « Hip Hop never stop ».

30 JANVIER

20H

L'HEURE BLEUE, SAINT-MARTIN-D'HÈRES

ÉVÉNEMENTS PASSÉS 2023

OCTOBRE 2023

©Mopix

SPECTACLE DIVIDUS

 

Que serait le monde, sans spectacle vivant ? Cette interrogation est au fondement de Dividus, dystopie chorégraphique située dans un avenir proche d’où le spectacle vivant aurait disparu. Les membres de la compagnie Ayaghma s’y font les témoins d’un passé révolu, les explorateurs résistants d’une créativité tombée en désuétude. Dans ce laboratoire dansant, les univers (hip-hop, cirque, danse contemporaine…) se rencontrent pour exprimer ensemble un besoin impérieux de reconnexion au vivant.

13 OCTOBRE

20H30

FESTIVAL KARAVEL, LE TOBOGGAN, DÉCINES

MARS 2023

©Patricia Martinez Oz

SPECTACLE LES VIVANTS

 

Cette saison, Nacim Battou propose un projet participatif Les Vivants : 20 personnes sont invitées à vivre et fabriquer un spectacle ensemble, librement inspiré de Dividus. Avec une cinquantaine d’heures de rencontre et de pratique, le spectacle créé sera présenté le 25 mars 2023 en première partie de Dividus. Cette aventure chorégraphique singulière veut être une immersion au coeur du processus de création de la compagnie Ayaghma. Il s’agit d’une invitation à découvrir ensemble les enjeux d’écriture traversés par les danseurs de la compagnie ainsi que le besoin vital de reconnexion au vivant.


Dans le cadre du Festival ImpruDanse #7

25 MARS

17H

THÉÂTRE DE L'ESPLANADE, DRAGUIGNAN

©Blasco

SPECTACLE DIVIDUS

 

Par le truchement de la fiction, Nacim Battou questionne la place et la nécessité de la création en (re)convoquant habilement le vivant. Que restera-t-il après que les lumières du théâtre s’éteignent ? Qu’avons-nous dit de si nécessaire dans ces lieux ? Que manquera-t-il ensuite ? Qu’avons-nous manqué ? Qu’avons-nous réussi ? Pour Dividus, le danseur et chorégraphe s’entoure d’un collectif de singularités libres, de compagnons-artistes avec lesquels il n’hésite pas à tronquer les mots pour dire ses émotions sur scène et dans la vie à l’heure d’une paternité nouvelle. Pour porter notre attention sur le futur du monde : Quelle planète ? Quels savoirs, quelle société laisserons-nous ? Quelles sensations ? Autant de questionnements qui traversent cette pièce au titre inspiré des écrits de Keiichiro Hirano, portés par une écriture hip-hop frottée à la danse contemporaine et au cirque. Une gestuelle singulière et universelle à la fois car danser partout et pour tous est son credo ; une danse populaire faite de rencontres et de croisements comme un miroir tendu aux individus fédérés autour de son projet.


Dans le cadre du Festival ImpruDanse #7

25 MARS

20H30

THÉÂTRE DE L'ESPLANADE, DRAGUIGNAN