L’Œil ivre

SCOLAIRE – LE GLANEUR

Seul en scène, Romain Bertet est un Gargantua de l’image qui construit ses personnages au fil de ses souvenirs cinématographiques. Tantôt Pierrot le fou ou Wonderwoman, tantôt Alice ou Harry Potter, il s’approprie ces destinées hors normes, ces vies fictionnelles pour créer une danse hybride et mélanger corps et voix dans un « long- métrage » dont lui seul est le réalisateur. À partir de situations, répliques, dialogues-cultes et musiques extraites de l’infinie source cinématographique, Romain Bertet invente une forme florilège entre la danse et le théâtre dans laquelle le plaisir du jeu vient emplir l’espace scénique d’une multitude de personnages. À la manière d’un artisan, il compose des bandes sons originales sur lesquelles se trament autant d’histoires nouvelles et de gestes chorégraphiques. Tel un glaneur heureux de sa moisson.

SPECTACLE – LE GLANEUR

Seul en scène, Romain Bertet est un Gargantua de l’image qui construit ses personnages au fil de ses souvenirs cinématographiques. Tantôt Pierrot le fou ou Wonderwoman, tantôt Alice ou Harry Potter, il s’approprie ces destinées hors normes, ces vies fictionnelles pour créer une danse hybride et mélanger corps et voix dans un « long- métrage » dont lui seul est le réalisateur. À partir de situations, répliques, dialogues-cultes et musiques extraites de l’infinie source cinématographique, Romain Bertet invente une forme florilège entre la danse et le théâtre dans laquelle le plaisir du jeu vient emplir l’espace scénique d’une multitude de personnages. À la manière d’un artisan, il compose des bandes sons originales sur lesquelles se trament autant d’histoires nouvelles et de gestes chorégraphiques. Tel un glaneur heureux de sa moisson.

SCOLAIRE – LE GLANEUR

Seul en scène, Romain Bertet est un Gargantua de l’image qui construit ses personnages au fil de ses souvenirs cinématographiques. Tantôt Pierrot le fou ou Wonderwoman, tantôt Alice ou Harry Potter, il s’approprie ces destinées hors normes, ces vies fictionnelles pour créer une danse hybride et mélanger corps et voix dans un « long- métrage » dont lui seul est le réalisateur. À partir de situations, répliques, dialogues-cultes et musiques extraites de l’infinie source cinématographique, Romain Bertet invente une forme florilège entre la danse et le théâtre dans laquelle le plaisir du jeu vient emplir l’espace scénique d’une multitude de personnages. À la manière d’un artisan, il compose des bandes sons originales sur lesquelles se trament autant d’histoires nouvelles et de gestes chorégraphiques. Tel un glaneur heureux de sa moisson.

SPECTACLE – LE GLANEUR

Seul en scène, Romain Bertet est un Gargantua de l’image qui construit ses personnages au fil de ses souvenirs cinématographiques. Tantôt Pierrot le fou ou Wonderwoman, tantôt Alice ou Harry Potter, il s’approprie ces destinées hors normes, ces vies fictionnelles pour créer une danse hybride et mélanger corps et voix dans un « long- métrage » dont lui seul est le réalisateur. À partir de situations, répliques, dialogues-cultes et musiques extraites de l’infinie source cinématographique, Romain Bertet invente une forme florilège entre la danse et le théâtre dans laquelle le plaisir du jeu vient emplir l’espace scénique d’une multitude de personnages. À la manière d’un artisan, il compose des bandes sons originales sur lesquelles se trament autant d’histoires nouvelles et de gestes chorégraphiques. Tel un glaneur heureux de sa moisson.

SCOLAIRE – LE GLANEUR

Seul en scène, Romain Bertet est un Gargantua de l’image qui construit ses personnages au fil de ses souvenirs cinématographiques. Tantôt Pierrot le fou ou Wonderwoman, tantôt Alice ou Harry Potter, il s’approprie ces destinées hors normes, ces vies fictionnelles pour créer une danse hybride et mélanger corps et voix dans un « long- métrage » dont lui seul est le réalisateur. À partir de situations, répliques, dialogues-cultes et musiques extraites de l’infinie source cinématographique, Romain Bertet invente une forme florilège entre la danse et le théâtre dans laquelle le plaisir du jeu vient emplir l’espace scénique d’une multitude de personnages. À la manière d’un artisan, il compose des bandes sons originales sur lesquelles se trament autant d’histoires nouvelles et de gestes chorégraphiques. Tel un glaneur heureux de sa moisson.

SCOLAIRE – LE GLANEUR

Nous regardons des films, des séries, lisons des livres et notre quotidien se peuple des voix, des affects de ces êtres de fiction que nous ne rencontrerons jamais. Personnage gargantuesque, consommateur obsessionnel de cinéma, le glaneur est obnubilé par le besoin de retraverser sans cesse des situations issues de films qui l’ont marqué. À partir de répliques, bouts de phrases et musiques, ce spectacle est une ode au pastiche et à l’appropriation. Danse et théâtre se mêlent pour retrouver le plaisir enfantin de refaire les gestes des autres. Le glaneur est un DJ de personnages, samplant les voix des films, dansant comme Gene Kelly et Fred Astaire, tapant comme Rocky, souriant comme Brigitte Bardot, marchant comme le Parrain et s’amusant à faire dialoguer Mary Poppins et Mastroiani. Il est un instant tous ces gens-là, pour être plus tard sûr d’avoir la liberté d’être lui-même.

Programmation du Théâtre Massalia, scène conventionnée d’intérêt national art, enfance, jeunesse.

SCOLAIRE – LE GLANEUR

Nous regardons des films, des séries, lisons des livres et notre quotidien se peuple des voix, des affects de ces êtres de fiction que nous ne rencontrerons jamais. Personnage gargantuesque, consommateur obsessionnel de cinéma, le glaneur est obnubilé par le besoin de retraverser sans cesse des situations issues de films qui l’ont marqué. À partir de répliques, bouts de phrases et musiques, ce spectacle est une ode au pastiche et à l’appropriation. Danse et théâtre se mêlent pour retrouver le plaisir enfantin de refaire les gestes des autres. Le glaneur est un DJ de personnages, samplant les voix des films, dansant comme Gene Kelly et Fred Astaire, tapant comme Rocky, souriant comme Brigitte Bardot, marchant comme le Parrain et s’amusant à faire dialoguer Mary Poppins et Mastroiani. Il est un instant tous ces gens-là, pour être plus tard sûr d’avoir la liberté d’être lui-même.

Programmation du Théâtre Massalia, scène conventionnée d’intérêt national art, enfance, jeunesse.

SCOLAIRE – LE GLANEUR

Nous regardons des films, des séries, lisons des livres et notre quotidien se peuple des voix, des affects de ces êtres de fiction que nous ne rencontrerons jamais. Personnage gargantuesque, consommateur obsessionnel de cinéma, le glaneur est obnubilé par le besoin de retraverser sans cesse des situations issues de films qui l’ont marqué. À partir de répliques, bouts de phrases et musiques, ce spectacle est une ode au pastiche et à l’appropriation. Danse et théâtre se mêlent pour retrouver le plaisir enfantin de refaire les gestes des autres. Le glaneur est un DJ de personnages, samplant les voix des films, dansant comme Gene Kelly et Fred Astaire, tapant comme Rocky, souriant comme Brigitte Bardot, marchant comme le Parrain et s’amusant à faire dialoguer Mary Poppins et Mastroiani. Il est un instant tous ces gens-là, pour être plus tard sûr d’avoir la liberté d’être lui-même.

Programmation du Théâtre Massalia, scène conventionnée d’intérêt national art, enfance, jeunesse.

SPECTACLE – UNDERGROUND

Que se passe-t-il, là-dessous ? Une histoire se dessinerait-elle, invisible à nos yeux ? Serions-nous dans le mauvais sens ? Sommes-nous les témoins de la pensée souterraine d’un homme étrange qui porterait sur ses épaules la terre entière ? Le solo de Romain Bertet déconcerte autant qu’il fascine. D’abord allongé, la tête plantée dans le sol, le corps étendu par terre fait apparaître des mouvements. De contenus, ceux-ci deviennent excessifs jusqu’à ce que le corps se dresse, tel un totem. On entend alors quelques sons, mots, bruits voix, musiques, énigmatiques, qui jouent avec le corps dressé et invitent à l’exploration d’un monde inconnu. En jouant avec le hors-champ, le sous-sol se dévoile et semble fascinant. Ce spectacle totalement hypnotique vous plongera à coup sûr dans l’impossibilité de détacher le regard de cette performance chorégraphique, à moins d’un insolite dénouement… sait-on jamais ?

Une programmation de Derrière le Hublot, scène conventionnée d’intérêt national – art en territoire.

SPECTACLE – UNDERGROUND

Imaginez un homme, allongé, tête enterrée. À force de petits mouvements et de grands basculements, son corps se redresse comme un totem. Il reste comme ça, planté là, baigné par les voix et les sons enfouis qui nous parviennent du dessous. Et c’est tout. Ou presque. À partir de cette situation aussi radicale qu’incongrue, drôle et inquiétante, Romain Bertet mène une exploration des sous-sols qui prend la forme d’un rituel à la frontière de l’installation sonore et scénographique et de la chorégraphie. S’il aime jouer avec les limites et le risque, ce n’est pas tant la performance physique qui l’intéresse que le fait de se reconnecter à la nature. Il défriche, creuse, fouille la terre, bouscule nos perceptions et notre manière de (res)sentir.

SPECTACLE – UNDERGROUND

Imaginez un homme, allongé, tête enterrée. À force de petits mouvements et de grands basculements, son corps se redresse comme un totem. Il reste comme ça, planté là, baigné par les voix et les sons enfouis qui nous parviennent du dessous. Et c’est tout. Ou presque. À partir de cette situation aussi radicale qu’incongrue, drôle et inquiétante, Romain Bertet mène une exploration des sous-sols qui prend la forme d’un rituel à la frontière de l’installation sonore et scénographique et de la chorégraphie. S’il aime jouer avec les limites et le risque, ce n’est pas tant la performance physique qui l’intéresse que le fait de se reconnecter à la nature. Il défriche, creuse, fouille la terre, bouscule nos perceptions et notre manière de (res)sentir.

SPECTACLE – UNDERGROUND

Imaginez un homme, allongé, tête enterrée. À force de petits mouvements et de grands basculements, son corps se redresse comme un totem. Il reste comme ça, planté là, baigné par les voix et les sons enfouis qui nous parviennent du dessous. Et c’est tout. Ou presque. À partir de cette situation aussi radicale qu’incongrue, drôle et inquiétante, Romain Bertet mène une exploration des sous-sols qui prend la forme d’un rituel à la frontière de l’installation sonore et scénographique et de la chorégraphie. S’il aime jouer avec les limites et le risque, ce n’est pas tant la performance physique qui l’intéresse que le fait de se reconnecter à la nature. Il défriche, creuse, fouille la terre, bouscule nos perceptions et notre manière de (res)sentir.

SPECTACLE – UNDERGROUND

Imaginez un homme, allongé, tête enterrée. À force de petits mouvements et de grands basculements, son corps se redresse comme un totem. Il reste comme ça, planté là, baigné par les voix et les sons enfouis qui nous parviennent du dessous. Et c’est tout. Ou presque. À partir de cette situation aussi radicale qu’incongrue, drôle et inquiétante, Romain Bertet mène une exploration des sous-sols qui prend la forme d’un rituel à la frontière de l’installation sonore et scénographique et de la chorégraphie. S’il aime jouer avec les limites et le risque, ce n’est pas tant la performance physique qui l’intéresse que le fait de se reconnecter à la nature. Il défriche, creuse, fouille la terre, bouscule nos perceptions et notre manière de (res)sentir.

RÉSIDENCE – LE GLANEUR

SPECTACLE – ALCHIMIE

RÉSIDENCE – LE GLANEUR

RÉSIDENCE – ALCHIMIE

SPECTACLE – ALCHIMIE

SPECTACLE – ALCHIMIE

SPECTACLE – ALCHIMIE

SPECTACLE – ALCHIMIE